A l’heure où je passe concrètement d’un monde (professionnel) à l’autre, il est clair que deux années dans la presse m’ont permis de croiser quelques "people". Je vous livre ici mes 15 VIP :
Dans la catégorie Présidents de grands Groupes, j’ai croisé Henri Lachmann (Schneider), Patrick Thomas (Hermès), Henri Giscard d’Estaing (Club Med), Alain Mérieux (bioMérieux) et Jean-Pascal Tricoire (Schneider).
Dans la catégorie Ministres : Brice Hortefeux (actuel Ministre de l’intégration et de l’identité nationale) et Michel Giraud (ancien Ministre du Travail). Dans la catégorie Grands Journalistes : Bruno Frappat (Bayard Presse), Stéphane Paoli (France Inter), Jean-François Kahn (Marianne) et Emmanuel de La Taille (Press Club). Dans la catégorie Penseurs : Edgar Morin, Axel Kahn et Dominique Wolton. Et enfin hors catégorie : Anne-Sophie Pic (3 étoiles au Michelin).
La presse est le miroir de notre société. Je le traverse.
Je reviens aujourd’hui dans la vraie vie. Dans la pâte humaine.
Comme le souligne l’excellent magazine GEO : "Il est temps de voir le monde autrement". Du monde, j’en ai vu, des "people" je n'en veux plus !
Transitions de carrière et accompagnement du changement : Communication, management, efficacité pro., coaching, croissance identitaire... L'Entrepreneuriat, la relation au travail, l'évolution et la mobilité professionnelle... L'Entreprise, les Hommes, la Vie : bref, le CyberCarnet de JMP ! (depuis 2007)
jeudi 31 juillet 2008
samedi 26 juillet 2008
What else ?
(En me noyant dans ma tasse) ou plutôt en nous enfonçant dans l’été, je repense à mon compatriote grenoblois Stendhal qui écrivait il y a 170 ans "Mémoires d’un touriste" -1838-. Ce n’est point de hamac au long cours ou de compétition de chaise longue dont je veux vous entretenir néanmoins, mais de cette "libération" que j’ai ressenti ce mois-ci.
Notre Ingrid Betancourt n’est pas la seule à avoir été libéré en juillet.
Votre bête à concours n’a pas lésiné sur son énergie en 6 ans de "captivité".
Au bac de philo, ma fille a planché sur "Peut-on désirer sans souffrir ?"
(Non El Gringo, ne nous offre plus de nouvelles arômes à découvrir)
Sur cette question, en touriste, j’ai ma petite idée.
(Vous prendrez encore un café ? -nommé désir-)
Elle me ferait presque dire (mon idée) : un bon boulot. What else ?
Notre Ingrid Betancourt n’est pas la seule à avoir été libéré en juillet.
Votre bête à concours n’a pas lésiné sur son énergie en 6 ans de "captivité".
Au bac de philo, ma fille a planché sur "Peut-on désirer sans souffrir ?"
(Non El Gringo, ne nous offre plus de nouvelles arômes à découvrir)
Sur cette question, en touriste, j’ai ma petite idée.
(Vous prendrez encore un café ? -nommé désir-)
Elle me ferait presque dire (mon idée) : un bon boulot. What else ?
vendredi 18 juillet 2008
You rock my life
C’est vraiment un étrange retour vers le futur que nous vivons collectivement depuis quelques temps. Les idoles musicales des années 60, 70 ou 80 réapparaissent dans le décor, avec un vrai succès d’audience à la clef. Revoir actuellement fleurir les concerts (voire les tournées) de groupes comme Kiss, Police et autres Deep Purple en Rhône-Alpes me rend songeur. Songe d’une nuit d’été avec ZZ Top, ce n’est certes pas banal, mais quelque part bel et bien surprenant !
Phénomène de nostalgie collective globalisé démultiplié par un marketing affûté. Certainement aussi un besoin de s’évader dans un passé plus sécurisant que notre futur à venir. Mais que dire de ma fille de 19 ans qui apprécie les chansonnettes de ma prime jeunesse ? Un peu troublant tout ça quand même non ?
La question de savoir vivre l’instant présent, de savourer l’ici et maintenant nous est souvent posée. Evitons de nous replier vers le passé, d’être anxieux de l’avenir et vivons pleinement le moment. Le bon moment, c’est maintenant !
"Hier, c’est l’histoire. Demain, c’est le mystère. Aujourd’hui, c’est un cadeau." Alors si les groupes d’antan nous aident à y parvenir avec leurs morceaux…
Même si "on passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime" (Victor Hugo).
Phénomène de nostalgie collective globalisé démultiplié par un marketing affûté. Certainement aussi un besoin de s’évader dans un passé plus sécurisant que notre futur à venir. Mais que dire de ma fille de 19 ans qui apprécie les chansonnettes de ma prime jeunesse ? Un peu troublant tout ça quand même non ?
La question de savoir vivre l’instant présent, de savourer l’ici et maintenant nous est souvent posée. Evitons de nous replier vers le passé, d’être anxieux de l’avenir et vivons pleinement le moment. Le bon moment, c’est maintenant !
"Hier, c’est l’histoire. Demain, c’est le mystère. Aujourd’hui, c’est un cadeau." Alors si les groupes d’antan nous aident à y parvenir avec leurs morceaux…
Même si "on passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime" (Victor Hugo).
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