Affichage des articles dont le libellé est énergie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est énergie. Afficher tous les articles

mardi 14 mai 2019

Quel est le coût émotionnel d'une transition professionnelle ?

Chronique Terrienne n° 173
"53% des français de plus de 40 ans subissent une évolution non choisie. Les carrières linéaires sont de plus en plus rares, alors autant choisir sa trajectoire et le timing … Mais pas facile d’initier le changement car c’est un processus qui demande de l’énergie, du temps et qui comporte des risques... mais aussi énormément de satisfaction s’il se fait dans la juste direction." Ce qu'évoque l'extrait de cet article récemment lu par votre serviteur, c'est qu'une transition professionnelle non anticipée nous engloutit un maximum d'énergie. Faire face lucidement à ses enjeux, aborder le changement sereinement, prendre de la distance par rapport au quotidien, bien se connaître, développer ses compétences relationnelles, osez être soi... requiert de (re)trouver un équilibre émotionnel, exercices quotidiens grands dévoreurs d'énergie. En effet quand notre sécurité ontologique est re-questionnée, que c'est difficile !
Pour atteindre une forme de sérendipité (ouverture, curiosité, esprit positif...) idéale pour rebondir, un lâcher-prise certain est nécessaire. Il s'agit en fait de se faire confiance et de faire confiance à la vie. En accompagnant depuis plus de 10 ans des professionnels en transition, je vois combien l'acceptation est une des clefs de la transformation.
"Votre meilleur futur arrive, a dit Frédéric Hudson, quand vous avez le courage d’être : saisissez, formez-vous, risquez, osez, faites le saut. Étreignez l’inconnu à venir. Vivez à l’extrême de vos possibilités et non au maximum de votre sécurité."
Parce que je crois qu'accroître sa confiance est de notre responsabilité personnelle, pour conduire nos changements, le lâcher-prise peut transformer nos vulnérabilités en forces et éviter ainsi une débauche d'émotions négatives. JMP


Soirée AdC le 17 juin 2019 avec atelier expérientiel (dans le Club House d'un haras en Grésivaudan) :
https://www.eventbrite.com/e/changement-et-si-le-lacher-prise-transformait-mes-vulnerabilites-en-forces-tickets-61492054390


lundi 25 novembre 2013

L’énergie est notre avenir…

Chronique Terrienne n° 123
... c’est bien pour cela qu’il faut la consumer dans des projets porteurs de sens !
Je parle bien évidemment ici de notre énergie personnelle, celle qui nous fait (souvent) nous lever le matin plein d’entrain. Cultivons-là, dopons-là, canalisons-là dans cette vie terrestre qui a tant besoin de toute l’énergie d’hommes constructifs. Une bonne forme dépendra de notre hygiène de vie, mais la "pêche" est offerte, tel un cadeau, à ceux qui ont résolu leurs conflits psychiques et respecte leur biorythme. Au-delà, on dénombre 4 grands moteurs d’énergie : la proximité avec la nature, la création (au sens large), l’amour (évidemment et dans toutes ses composantes, par exemple la joie, l’humour, les passions…) et la spiritualité. Ils sont les points d’appui de notre régénération énergétique. Et si nous ne sommes pas tous égaux face à l’énergie, sachons aussi que derrière celui qui peut courir un marathon par exemple, existe le même homme qui aura peut-être du mal à s’occuper de ses enfants.
Moi qui me suis ouvert cette année à l’accompagnement de lycéens (COJ : Coaching-Orientation-Jeunes) je perçois combien mon énergie est aujourd’hui au service de mon harmonie. A 21 ans on est au pic de sa vitalité, mais on est plus centré lorsque vient la maturité.

"Qu’est-ce qui me porte ?" est une des bonnes questions à se poser de temps en temps. Mes clients doivent y répondre dans mes accompagnements en bilan où nous travaillons les sources d’énergie. Finalement je vais baptiser ce travail "bilan énergétique", c’est à la mode ! Et alors, avec mon brin d’humour, il ne me restera qu'à leur dire : "Souviens-toi toujours que la farce est en toi !" JMP

dimanche 25 mai 2008

Engagement

Dans les TPE-PME, "on bosse" davantage que dans les grandes entreprises.
L'information est confirmée par l'enquête emploi de l'INSEE. Les cadres des sociétés de moins de 10 salariés travaillent 131 heures de plus par an que les autres ; soit plus de 3 semaines d’écart.
Je ne regrette pas les 35 heures dans ma précédente grosse société mais quand même ! Cadres de TPE, c’est le prototype de l’homme à tout faire, compte-tenu de la polyvalence réclamée et de l’absence de services généraux. Les bosseurs tournent ainsi à plus de 50 heures par semaine.
Si dans les petites structures l’investissement énergétique est conséquent, il va concerner de plus en plus de monde. Ces 20 dernières années, on a connu en France une croissance de 35 % des effectifs dans les PME, pour une population active en hausse seulement de 10%. Et que dire des entrepreneurs, professions libérales, artisans, commerçants indépendants…
Trop de tâches ne sont en effet pas valorisables lorsque l’on est à son compte. La rentabilité de nombre d’activités ne peut souffrir de l’imputation des temps de trajets, du travail administratif, de la veille concurrentielle et recherche d’informations par exemple. Souvent dans les TPE, c’est même évidemment la maintenance du matériel, le nettoyage des locaux, le rangement etc... Pas étonnant que l’investissement temps corresponde à un total engagement. A méditer quand on reparle de RTT !