Chronique Terrienne n° 197
Combien de personnes que j'ai reçu en entretien réseau, renseigné et orienté ne m'ont jamais tenu au courant de leur démarche emploi. Et lorsque j'ai su dans quelles organisations locales elles ont été recrutées, pas plus de nouvelles données ! Plus de temps... jamais (?) ... On parle aujourd'hui de réseau à tout crin (et même chez Pôle Emploi), mais pour réseauter, il faut selon les pro. avoir développer une compétence spécifique à ce sujet (la démarche réseau) et puis surtout respecter une étiquette. Ainsi dans la vie professionnelle, j'ai constaté qu'il y a les "chasseurs", qui viennent chercher uniquement ce dont ils ont besoin (avec plus ou moins de succès...), et il y a les "semeurs", qui patiemment, avec sympathie, savent créer des liens durables basés sur la confiance et le respect. Ils savent donner pour recevoir. Ils développent certainement un patrimoine immatériel pertinent pour le reste de leur carrière : un carnet d'adresses et surtout une vraie habileté relationnelle. Soyez clair sur vos demandes (de l'info., du témoignage, des idées et des reco., mais pas le job !). Gérer le timing de l'entretien pour ne pas mettre en difficulté le planning de votre hôte. Remercier par mail dès le lendemain. Tenez au courant votre interlocuteur de votre prise de poste. Apprécieriez-vous qu'une relation professionnelle vous dise : "C'est quoi ce clown que tu m'as envoyé ?" Alors briefer votre ami ou dites lui clairement qu'il n'est pas prêt; ce qui sera pour lui un cadeau, pour en finir avec le réseau zozo... JMPAccélérateur de Croissance AdC
Transitions de carrière et accompagnement du changement : Communication, management, efficacité pro., coaching, croissance identitaire... L'Entrepreneuriat, la relation au travail, l'évolution et la mobilité professionnelle... L'Entreprise, les Hommes, la Vie : bref, le CyberCarnet de JMP ! (depuis 2007)
vendredi 18 décembre 2020
mardi 1 décembre 2020
Alors heureux(se) ?
Vieillir est obligatoire, grandir semble facultatif, alors que je considère que c'est plutôt essentiel. Le bonheur n'est-il pas une conséquence de la connaissance de nous-même ? Connaissance qui, étapes après étapes, nous permet d'exister pleinement. C'est le but de la vie. Exister et se réaliser. Cette pandémie est schtroumpfante, n'endurcis pas ton cœur (reste le petit lutin facétieux que tu étais) ! Ne regrettons pas de vieillir, à la réflexion c'est un privilège refusé à beaucoup. Ne prenez pas la vie aussi trop au sérieux, de toute façon vous n'en sortirez pas vivant disait l'autre. La vie est pourtant si simple : vous êtes heureux ? Oui : continuez. Non : changez quelque chose. Bonne nouvelle, si vous ne pouvez changer votre boss, votre conjoint, bref l'autre ou bien le monde, vous pouvez par contre changer la façon dont vous vous le représentez. Chacun construit sa propre réalité. Si tu ne pars pas à la recherche de ce que tu désires, tu ne l'obtiendras jamais. Si tu ne demandes pas, la réponse sera toujours "non". Si tu n'avances pas, tu resteras toujours au même endroit. J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé, alors demain je me lève de bonheur ! JMP
vendredi 13 novembre 2020
Ingrat, tu ne seras pas.
Chronique Terrienne n° 195
S'il est une vertu que j'apprécie c'est la reconnaissance, ou la gratitude. Je sais combien l'orgueil isole alors que l'homme a besoin d'interdépendance (l'Autonomie). Il n'est de honte à avoir été aidé un jour. Nous nous devons de construire des relations aussi harmonieuses que possible avec les autres. Je recherche toujours le gagnant-gagnant, car contraindre, voire abuser, est une voie qui mène à la discorde et à la violence. On a toujours besoin d'un plus petit que soi (un jour où l'autre) comme l'affirmait Jean de La Fontaine. Vouloir sembler fort n'est pas signe d'intelligence. "N'oublie pas de faire preuve de gentillesse avec ceux que tu croises en montant, car tu les croiseras à nouveau en redescendant !" Je me souviens de ceux qui m'ont fait du tort mais je sais heureusement pardonner (lâcher-prise). Combien d'ingrats ai-je croisé ? Je n'en fais la comptabilité, mais certains obnubilés par leur petit nombril ou trop engoncés dans leur matérialisme me font pitié. La preuve en est leur comportement. Quelqu'un qui ne sait vous offrir que son absence et son indifférence témoigne (même parfois malgré lui) de son ingratitude. J'aime plutôt me souvenir, moi, de ceux qui m'ont aidé, soutenu, ceux m'ont toujours respecté. Qu'ils en soient ici encore remerciés ! JMP
lundi 2 novembre 2020
DRH mon ami(e)...
Chronique Terrienne n° 194
Ces 12 années de cotisation à l'ANDRH (Association des Dirigeants Ressources Humaines et métiers associés) se seront terminées dans la confusion du grand confinement de 2020. Que de participations de ma part à des soirées, conférences et autres visites d'entreprises locales (j'appartenais au Groupe Dauphiné) que j'affectionnais. Mais voilà, comment dire, ce monde qui est devenu tellement féminisé et extrêmement juridique ne m'attire plus vraiment. Bardé(e)s de diplômes (à l'exemple de ces "Masters RH"), je ne reconnais plus vraiment ce beau métier où l'essentiel semble s'être perdu en route. A 40 ans, en 1972, celui qui vient de disparaître cette année, prenait la gestion des ressources humaines d'un site sidérurgique et métallurgique de 800 personnes. Bien qu'autodidacte, il était bien expérimenté dans la vie et travaillait déjà depuis 12 ans dans cette société qui lui a fait confiance. Il assurera alors 15 années de dialogue social et d'administration du personnel (recrutement ici et en Lorraine, intérim et prestations de maintenance etc...) avec fermeté et bienveillance. Puis à une époque où les crises économiques commençaient à se succéder, il termina sa carrière, à 55 ans, via une pré-retraite où il allait être encore plus en responsabilité (mandataire dans le secteur associatif) que dans son ancien job ! Il était un homme sociable et engagé, on aimait l'avoir comme ami. Je porte son nom et même à moitié son prénom. C'était mon père. JMP
dimanche 18 octobre 2020
Méditer pour éveiller ses qualités
Chronique Terrienne n° 193
"Méditer avec Petit Bambou" est un livre que mes enfants m'ont offert cette année pour la fête des pères. J'avais téléchargé l'appli. * sur mon smartphone pendant le confinement général, sur le conseil de mon fils Olivier. Mon retour au Cabinet, dès le 11 mai dernier pour redresser mon entreprise, commençait à me placer fin juin en période de "surchauffe". Dans le tumulte de la vie, il est souvent difficile de rendre du recul. Heureusement vous voyez, je suis bien entouré ! Dans mon métier de coach pro. certifié, je suis moi-même accompagné. J'ai à la fois des lieux de supervision de ma pratique professionnelle mais aussi de travail de développement personnel. Il faut en effet prendre soin de son équilibre, et celui-ci passe par prendre soin de son corps, car on y habite tout au long de sa vie ! Se connecter à lui, être attentif à ses sensations, focaliser son attention sur sa respiration ; le souffle est le support de la méditation. Débrancher son mental, accueillir ses émotions, les comprendre pour, in fine, faire le calme en soi. Prendre le temps de prendre le temps : RA LEN TIR nous encourage "Petit Bambou" ! JMP
* "Petit Bambou" est l'appli. de méditation de pleine conscience n°1 en France (incarné par le personnage d'un sympathique petit bonze)
samedi 26 septembre 2020
"Mieux vaut rire que jamais !"
Chronique Terrienne n° 192
jeudi 20 août 2020
Urb(e)y et Orb(e)y
Chronique Terrienne n° 191
La relecture, cet été, du "Pouvoir de l'instant présent" d'Ekhart TOLLE, "l'un des livres les plus importants de notre époque" d'après Marc Allen qui en signe la préface (Editions J'ai lu), je la dois à cette cliente qui, il y a quelques années, ne me rapporta pas l'ouvrage que je lui avais prêté. Ce bouquin se retrouva donc dans le top case de ma moto pour notre séjour 2020 en Val d'Orbey, étant tombé dessus quelques jours plus tôt dans le rayon livres de mon supermarché préféré. Le message de cet ouvrage : le problème de l'humanité est profondément enraciné dans le mental lui-même, ou plutôt notre identification au mental. Ekhart TOLLE, qui l'a écrit en 1997, y parle beaucoup de lâcher-prise. L'ego nous orientant beaucoup vers le manque et la peur, donc la résistance, le contrôle, le pouvoir, la cupidité, la défensive et l'hostilité. Si je ne fais pas honneur à l'instant présent en le laissant être, je suis en plein mélodrame. En totale conscience, fini le mélodrame, les choses mauvaises qui arrivent dans la vie des gens résultent de l'inconscience. En totale conscience, aucun conflit ! Distinguons bien notre Vie et nos conditions de vie. Quand une situation ou une circonstance à laquelle on s'est attaché et identifié prend fin, l'esprit ne peut l'accepter (résistance au changement). Le livre se termine ainsi : "Comment savoir si j'ai lâcher-prise ? Quand vous n'aurez plus besoin de poser cette question !" "Il semble bien que le savoir essentiel ne soit pas encore accessible à la vaste majorité". Clamer cette nouvelle "urbi et orbi" dans la petite ville d'Orbey (près de Colmar) et à l'univers entier est mon idée ! JMP
samedi 4 juillet 2020
Mais qui est donc Uncle Ben's ?
Avez-vous entendu parler du livre intitulé "Peau noire, masques blancs" ? Il a été publié chez Seuil en 1952 par Frantz Fanon, un psychiatre antillais (mort algérien à 36 ans en 1961). Il y écrivait : "Vais-je demander à l'homme blanc aujourd'hui d'être responsable des négriers du XVIIème siècle ? (...) Je ne suis pas esclave de l'Esclavage qui déshumanisa mes pères". "Notre humanité", écrit cette fois Frédéric Boyer dans "La Croix L'hebdo" du 27 juin, "c'est de ne jamais enfermer l'autre homme dans les limites dont il ne serait pas responsable et qu'il ne pourrait ni dénoncer ni franchir." Uncle Ben's, pour moi, c'est
mardi 16 juin 2020
Faire de la gratitude une habitude
mardi 2 juin 2020
"En 2020 ?" "Je me lavais les mains."
Si Ponce Pilate est bien connu dans l'histoire pour s'être lavé les mains à un instant décisif de sa carrière, j'imagine les réponses que devront donner les candidats lors des entretiens de recrutement des années qui viennent sur l'an 2020. Surtout qu'on n'est pas à l'abri de tomber sur un "stakhanoviste du CV", comme un de mes clients en outplacement (cadre sup' de 52 ans) en a fait l'expérience récemment. Il a dû répondre pendant 2h30, à une batterie de questions, toutes plus précises et intrusives les unes que les autres, d'un psy du travail qui cherchait manifestement le fameux "trou" dans son CV ! Il était mandaté par le DG d'un PME qui voulait certainement se sécuriser avec ce type d'exercice. A la question "Que faisiez-vous en 2020 ?" Lui répondre : "Je me lavais les mains" ne suffit pas ! Aujourd'hui, un actif sur 4 craint de perdre son emploi à cause du cette "vacherie" de virus. Et surtout : 43 % des travailleurs indépendants, 42 % des salariés actuellement mis au chômage partiel par leur entreprise, 38 % des actifs aux revenus les plus modestes, 39 % des salariés de TPE. Ainsi il est probable que beaucoup vont devoir refaire leur CV, et pour prouver qu'il n'est pas bidon, ils peuvent désormais compter sur l'Administration... en le faisant certifier par la CNAV (l'assurance retraite qui possède les data : en tout cas, vos emplois salariés en France). Je repense à Idriss Aberkane* qui avait fait cette blague au Colloque 2018 de l'EMCC : "Aux US, ils ont Steve Jobs. Nous on a Paul Emploi." JMP
*Je n'ai pas dit que son CV, à lui, était "dopé"...
lundi 27 avril 2020
Comment faites-vous pour ne pas changer ?
"Certains ce mettent en valeur, ils feraient mieux d'en avoir..." était récemment le fond de ma pensée (voir ma CT 186). Et vous aujourd'hui, dans cette crise, quel basculement s'opère en vous ? La hiérarchie de vos valeurs s'est-elle modifiée significativement ? Vous sentez-vous vivre réellement une rupture ? Votre état d'esprit évolue t'il avec ces évènements et ce confinement ? Comme je l'évoque souvent, la transition est le vécu intérieur du changement. Quelles émotions reviennent particulièrement ? Quel questionnement sur ma vie professionnelle, ma vie tout court peut-être ? Si vous ressentez la nécessité de vous réaligner, entre vos valeurs et votre activité, pour nourrir des besoins plus profonds : réelle utilité, vraie contribution, partage, sens, humanité... Je vous invite alors à la "conversion personnelle" en menant une réflexion, avec la force du "peut-être", que ceux qui sont du "monde" avec leurs seules préoccupations d'efficacité et de réussite ne savent faire. Un cheminement qui permet de creuser, d'élargir, de relier. Nier ses failles et chercher des garanties nous pousse au "dévivre". Faire son œuvre de vie... car œuvrer veut dire "ouvrir", s'ouvrir à l'autre, éprouver le désir d'une relation vraie... Je vous enjoins donc à déjà prendre conscience que vous vivez bien une transition. Alors pour changer, je vois deux solutions : soit vous cliquez sur un "
mardi 21 avril 2020
CoVidOpportunistes !
Depuis plus d'un mois maintenant, dans ce confinement lié à la crise sanitaire du CoVid-19, je vois apparaître nombre d'initiatives positives dans mon entourage professionnel (et vous savez que mon réseau relationnel est large). En situation de crise, nous le savions et nous le constatons en ce moment, certains vont révéler des besoins extrêmement basiques quand d'autres auront la force d'âme de penser à autrui. Mais le fait est, que parfois, ce n'est ni dans la discrétion, ni dans la modestie. "Te voilà à ce point désœuvré (et en bonne sécurité matérielle évidemment) que tu débordes aujourd'hui d'activités nouvelles ?" Quelles soient présentées sous la forme de solidarité, de bénévolat ou bien payantes, tous, nous tentons de nourrir nos besoins psychologiques à travers notre comportement. Et actuellement, certains "en font tout un plat" sur les réseaux sociaux, pour se faire remarquer, reconnaître et loués dans de nouveaux rôles valorisants. Le déni de ses propres besoins (immaturité) côtoie parfois l'hypocrisie, et bien évidemment des tactiques "business". "Coacher sans intention" me martelait un des mes superviseurs il y a quelques années. Que peuvent inspirer ces "leaders improvisés" qui ne trouvent leur légitimité que dans la suractivité ? Savoir quelle est sa juste place avec humilité, quel est son vrai domaine de compétences et là où il s'arrête ? La tempérance éprouve nos désirs et les purifie. Fébrile et oscillant ou bien constant et intègre pour porter vraiment du fruit, durablement ? Alors altruistes ou bien opportunistes ? JMP
mercredi 1 avril 2020
Ladvator temporis acti ("C'était mieux avant")
"A Munich, une vingtaine de linguistes travaille à un projet titanesque de dictionnaire exhaustif de latin. Le "Thesaurus linguae latinae" est en cours depuis... 125 ans ! Quand on leur demande pourquoi des collégiens devraient aujourd'hui entonner le "Rosa, rosa, rosam" qui a plongé des générations entières dans un ennui presque existentiel, chanté par Jacques Brel, ils ne savent plus par où commencer".* "C'est un regard sur un monde fascinant dans lequel on peut voyager", dit Michael Hillen. "C'est aussi le monde dont nous venons, des livres de cuisine aux traités de philosophie", renchérit Manfred Flieger. Leur argumentaire est sans fin : "Grâce au latin on comprend les processus de réception, puisque c'est lui qui nous a apporté l'héritage grec" ; "Il permet de comprendre comment une langue fonctionne, comment la communication entre deux personnes réussit" ; "Il aide à s'orienter dans d'autres langues". En effet, mes années de latin en secondaire me permette d'être plus familier avec notre langue dite morte. Si la raison sociale de ma SAS est "Auxilium Mutationi" (interprétation latine "d'Accompagnement du Changement") c'est parce que j'épaule mes clients dans le "Hic et nunc" ("ici et maintenant"), sachant que "Eadem sunt omnia semper" ("Rien ne change... vraiment"). Entre "Otium et negotium" (oisiveté/loisir et négoce/affaires) pendant ce confinement, je crois au "Mens sana in corpore sano" ("Un esprit sain dans un corps sain") et avec "
* In "Les Echos" (17 Janvier 2020)
** "Coronavirus" est le nom d'un aurige (chauffeur de chars) dans "Astérix et la Transitalique" (2017), assisté de son fidèle Bacillus.
mercredi 25 mars 2020
"J'accompagne, tu accompagnes..."
"Accompagner" semble vraiment à notre époque le mot magique d'une posture professionnelle idéale ! "Tous à la maison, Dunod vous accompagne pendant le confinement", mon banquier dit m'accompagner lui-aussi, tout comme mon magasin de bricolage (!) ainsi qu'une kyrielle de métiers (agents immobiliers, avocats, architectes et prestataires en tout genre...) Or, en n'étant guère précis (par malice), on gomme du vocabulaire la réalité qui est souvent : vendre, écouter, conseiller, accueillir, transmettre, former, fournir etc... Mais l'accompagnement recouvre en effet nombre de vocations et de postures professionnelles. Je vais tenter d'y apporter un peu d'éclairage, moi qui ai démarré ma carrière en 1984 en tant qu'Attaché Commercial et non "Conseiller", ou mieux "Ingénieur" Commercial" ! Rester dans la confusion, c’est refuser de donner du sens à ce qu’on fait quand on dit accompagner. C'est, vous l'aurez compris, évidemment exclure clairement les pratiques qui ne sont ni de près, ni de loin, de l'accompagnement. "La posture d’accompagnement confronterait à un ajustement de l’action à la demande particulière corollaire d’une attitude d’effacement, de mise en retrait, consistant à ne pas faire ni dire à la place de l’autre" écrivait Maela Paul en 2002 (CNAM et Université de Nantes) in "L’accompagnement : une nébuleuse." Pour moi, accompagner signifie épauler un individu d'un point A à un point B (son objectif à lui, pas le mien) en toute sécurité (respect du libre arbitre, confidentialité etc...) sur une durée de quelques mois (le coach étant biodégradable ;-) JMP
samedi 22 février 2020
Qu'est-ce que l'échec nous apprend ?
Pour sécuriser son activité professionnelle, qu'est-ce que l'échec nous apprend donc ?
Parce que "Quand survient l'épreuve, il est trop tard pour préparer notre âme à l'assumer" disait Sénèque, je crois utile aux entreprenants, et particulièrement aux entrepreneurs, de creuser à la fois leur définition de l'échec et de conscientiser l'impact qu'il pourrait avoir sur leur vie, le jour où. Je les invite à lire par exemple "Vertus de l'échec" du philosophe Charles Pépin. Pour moi, en parler ne doit pas être tabou, car c'est salutaire. Notre vie n'étant "finalement" qu'une succession de "fins" ! Se donner le droit à l'erreur n'est-il pas en fait le premier pas vers l'audace et la confiance en soi (qui va avec) ? "La pierre précieuse ne peut être polie sans frottements, et l'homme ne s'accomplit pas sans subir d'épreuves." (Pensée bouddhiste)
"Avant d'être cassé, vous ne savez pas de quoi vous êtes fait" a également dit Ziad K. Abdelnour. C'est un fait que j'ai vérifié personnellement. Encore faut-il savoir tirer les enseignements de ses difficultés en osant se remettre un peu en question, pour rebondir durablement. JMP
Une conférence de Jean-Michel PONCET (Entrepreneur & Coach Pro certifié CT)
S'inscrire : https://www.gresibusiness.fr/tempsforts/academie/le-programme-edition-2020/rebondir/
GRESI BUSINESS Académie : 2 jours pour lancer, développer et sécuriser son business (30/31 03 2020 Espace Andréa Vincent)
Ma Chronique du 24 novembre 2007 : "Échec… (brillant ou mat ?)"
http://accelerateur-de-croissance.blogspot.com/search/label/%C3%A9chec