mercredi 26 septembre 2012

Mon demi-siècle et... Demi

Mon arrivée dans ce bas monde ("cette année-là") juste après la disparition de Maryline, mais aussi l’attentat du Petit Clamart (dont le grand Charles s’en est sorti par miracle), n’en a pas été trop catastrophique pour autant. Pour preuve j’atteins ce mois-ci mon demi-siècle : 26 septembre 1962...+50...= 2012.
Je profite de ce cap de maturité pour me (re)mettre à mon compte.
Ouvrir mon propre Cabinet de coaching de développement et de transition de carrière répond tout la fois à un vif désir d’indépendance mais aussi au souci d’offrir une totale neutralité à mes clients, professionnels en transition, cadres en questionnements ou managers en mutation.
Pour ne pas faire les choses à moitié (!) je proposerai également des ateliers de développement personnel à visée professionnelle qui, dans une logique de parcours, viendront bonifier le travail "en individuel".
Objectif assigné : accélérer la croissance identitaire de mes clients et leur permettre de reprendre la conduite de leur cheminement professionnel en réinjectant de « l’Essentiel dans l’Important ».
Demi (Moore), elle, est née un 11 novembre 1962 à Roswell* au Nouveau-Mexique (*une bien belle et étrange créature n’est-ce pas !). Si elle ne fait pas son âge (comme moi me direz-vous !) je lui souhaite de vivre heureuse encore au moins 50 années.
Mais sait-elle que Vercingétorix a été "réduit de moitié" par César un 26 septembre ?

lundi 3 septembre 2012

"Long is the road, hard is the way"

Dans ce registre (et comme le chantait J.J. Goldman il y a 18 ans), mon Maître Coach Vincent Lenhardt (himself) dit que "ce n'est pas le chemin qui est difficile, c'est la Difficulté qui est le Chemin" !
En cela il rejoint Monsieur de La Fontaine qui écrivait (un peu) avant lui :
"On rencontre sa destinée souvent par des chemins qu'on prend pour l'éviter" (in L'Horoscope -VIII,16-)
En effet, j'ai constaté que là où l'on bute, il y a souvent la matière pour notre devenir.*
L'enjeu est ici notre capacité de remise en question. Car si l'on bute, c'est que l'on ne peut plus s'adapter suffisamment.
On peut tenir un certain temps dans une sur-adaptation à un  contexte mouvant, mais nous n'atteindrons plus nos objectifs initiaux, car nous ne nous alignons en fait plus avec eux.
La question dans ce cas peut-être évidemment : "Quel est le bon objectif pour moi aujourd'hui ?" Savoir renoncer à un but pour en imaginer un autre est très certainement affaire de sagesse.
C’est pourquoi "Penser en homme d’action et agir en homme de pensée" (comme le disait Bergson) me semble être une des conditions du succès. D'autre part, être bien accompagné dans sa transition est sans doute aussi l'autre bonne façon de procéder.
"Long is the road, hard is the way... but in coaching we trust."

 * Ma propre trajectoire le confirme : 15 transitions pro. en 30 ans, et aujourd'hui c'est mon métier !