mercredi 25 juin 2008

Le Moi(s) de l’entrepreneuriat

Juin est décidément le mois de l’entrepreneuriat à Lyon (LVE).
Il s'est ouvert (le 3) par les "Prix de l’esprit d’entreprendre" (du magazine Acteurs de l’économie Rhône-Alpes) qui ont été couronnés du double succès de la qualité de la diversité des parcours des 8 lauréats, et de la présence de près de 400 personnalités dans la magnifique salle de la Corbeille de la CCI de Lyon (57 m de plafond, ou plus exactement de verrière).
Puis vint sur place le "Salon des entrepreneurs", la semaine dernière (les 18 et 19 juin). J’y ai passé une pleine journée. Mon constat est que la démocratisation est en route ! J’y ai en effet croisé des jeunes, des vieux, des "presque SDF", des shorts, des tongues et Monsieur le Maire (de son nom Collomb, sans doute l’arrière-arrière petit rejeton de Christophe, l’aventurier).
Ma seule certitude, finalement, parmi tous ces prétendants à l’aventure de l’entreprise fut la suivante : les femmes enceintes, vues ce jour là sur ce salon, vont certainement créer un organisme dans les mois à venir !
Le supplément des Echos "L’art d’entreprendre" vient contredire mon pessimisme : le rythme de 200 000 créations par an il y a 10 ans est actuellement passé à 300 000. Mais au-delà de ces chiffres (qui comportent nombre d'activités unipersonnelles) les deux questions suivantes ont "raisonné" en Moi : "Et si entreprendre était une science ?" (La science de créer les conditions du succès…) Et en ce Mois : "Quels compromis pour composer l’équipe entrepreneuriale ?" (La composition de l’équipe idéale dépend de l’appétence au risque…)

vendredi 13 juin 2008

E=MC²

Efficacité = Motivation x Compétences²
Et si la clef de l’efficacité résidait dans l’équation consistant à "décupler" la motivation (faire sens) par les compétences "en synergie" (savoir-faire & savoir être) ? Et complétons notre savant modèle mathématique par les deux "théorèmes" suivants :
1) Sachant que les deux conditions de la réussite d’une équipe sont avant tout un haut degré du sentiment d'appartenance et un leadership clair.
2) Dans la mesure où une équipe performante (d'après William Schutz) est celle qui ose exprime ses besoins et ses peurs, en ayant renoncé à toujours avoir toujours raison à priori.
On atteindra ainsi l’efficacité maximale.
Reste à évoquer encore qu’une organisation performante sait surtout précisément sur quels critères elle est évaluée (les KPI*), et qu’elle possède une saine écologie des relations entre chacun de ses membres, entre chacun et le leader, entre chacun et le groupe, et entre le groupe et l’extérieur…
Tout cela est finalement plus "alchimie" que "calculs" ! Au delà des théories, ne vaut cependant sur le terrain que la multiplication du courage par le respect, de la créativité par la convivialité et de la compétitivité par la profitabilité (et si possible au ²) !

* KPI : Key Performance Indicators