Celui qui inspira le nom des mémos de ce Blog
s’appelait Ray Bradbury. Il nous a quitté avant l’été à 91 ans. Ce très
prolifique auteur américain de science-fiction (500 nouvelles, 30 romans…) est
le créateur des fameuses « Chroniques Martiennes » en 1950 qui le
rendirent mondialement populaire. En 53, ce sera « Fahrenheit 451 »
que François Truffaut portera à l’écran en 66.
Egalement disparu ce mois-ci à 87 ans, Harry
Harrison (dont le film « Soleil vert » de Richard Fleischer en 1973 avec Charlton Heston s’inspira d’un de
ses romans) est un autre romancier de SF dont l’humour et les profils de personnages
« antihéros » ont été appréciés par de nombreux fans.
Leurs oeuvres et les
films d'anticipation qui en ont été issus, sont à la fois prophétiques et
inspirés par un avenir lourd de menaces, notamment celles du matérialisme
absolu, de la surpopulation, de l'épuisement des ressources naturelles et de la
destruction de l’environnement.
Ces messages cachent
néanmoins des hommes au vrai sens de l'humour ayant une vision constructive de
la vie.
« Regarde le
monde, disait Brad, il est plus extraordinaire que tous les rêves fabriqués ou
achetés en usine. »
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