(En me noyant dans ma tasse) ou plutôt en nous enfonçant dans l’été, je repense à mon compatriote grenoblois Stendhal qui écrivait il y a 170 ans "Mémoires d’un touriste" -1838-. Ce n’est point de hamac au long cours ou de compétition de chaise longue dont je veux vous entretenir néanmoins, mais de cette "libération" que j’ai ressenti ce mois-ci.
Notre Ingrid Betancourt n’est pas la seule à avoir été libéré en juillet.
Votre bête à concours n’a pas lésiné sur son énergie en 6 ans de "captivité".
Au bac de philo, ma fille a planché sur "Peut-on désirer sans souffrir ?"
(Non El Gringo, ne nous offre plus de nouvelles arômes à découvrir)
Sur cette question, en touriste, j’ai ma petite idée.
(Vous prendrez encore un café ? -nommé désir-)
Elle me ferait presque dire (mon idée) : un bon boulot. What else ?
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