Chronique Terrienne n° 138
Parmi mes clients en accompagnement individuel, Simon était dans une situation singulière à la rentrée dernière. Après 10 ans passés au Mexique, il voulait rentrer en France avec sa famille qu’il avait fondée loin de son pays natal. J’ai assuré alors pendant environ 4 mois un soutien à distance via internet : échanges mails et séances de coaching via skype.
Déménagement effectué, il démarre ce mois-ci un nouveau job dans l’hexagone, avec une belle promotion à la clef ! Pasteur disait : "La chance ne sourit qu’aux esprits préparés."
En septembre également, Benjamin vient me voir au Cabinet, puis ne donne pas suite à notre entretien. Actuellement, je sais qu'il est toujours à la recherche du bon job.
Deux remarques à travers ces exemples de comportement :
- ne croyez-pas que le premier avait largement les moyens de se payer un coach et pas le second, car c’est le contraire.
- ne croyez-pas que le premier avait plus besoin et était au chômage, car c’est le contraire.
Régulièrement, je constate en effet parmi certains contacts qui me sollicitent que la confiance qu’il faut oser et l’humilité dont il faut faire preuve pour se remettre en question lors d'une transition professionnelle ne sont pas du côté où les apparences de la situation de l'intéressé nous le font croire.
Et Simon n’était pas en bonne posture en septembre, pourtant "Les gens qui veulent fortement une chose sont presque toujours bien servis par le hasard" disait Balzac.
Alors avec Simon je dis : Viva Mexico ! JMP
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